samedi 24 septembre 2016

Le Rassemblement présent en local auprès de Hit Fm

Lors de la réception au Musée des Jacobins à Auch (Gascogne) en présence du Préfet du Gers et des élus locaux afin de soutenir une radio locale employant 10 salariés. Le média est aussi un lien incontournable, culturel et informatif. Longue onde à lui ...

mardi 16 août 2016

Changeons NOS politiques #DroitAnimal

Manifestation Anti Corrida Mont de Marsan 23/07/16

Représentant le Rassemblement Eco Citoyen, dans le Gers département voisin également pratiquant la corrida dans encore plusieurs villes, je tiens à témoigner aujourd'hui, ici, notre soutien total à cette cause, et mon dégoût à certaines pratiques sur les animaux dans un pays comme le notre, et en particulier la corrida. Je comprends et j'entends les traditions et les traditionalistes. Mais notre histoire, depuis la nuit des temps est faite d'abolition des traditions, lorsqu'elles sont barbares. La corrida, même si certains veulent se cacher derrière une pseudo tradition, est quelque chose de barbare, qui n'a plus lieu d'être et d'exister dans notre pays. En aucun cas, sous aucun nom, et sous aucune excuse!
Et que dire quand on apprend que des écoles, en France, notre pays, apprennent, a des enfants, dès l'âge de 7 ans, comment bien torturer un animal!!!! Comment expliquer ensuite à ce même enfant de 7 ans, qu il ne devra pas torturer son chien, son chat....ou son petit frère!!!!!! 
Comment justifier qu'autant de subventions publiques soient distribuées pour cette barbarie. Tandis que dans le Gers, les Landes, et partout dans notre région, des dizaines d'écoles primaires fermeront cette année. Pendant que la culture, la vraie, que la police et notre sécurité n'ont plus de budget. Rendez nous notre argent, argent public...
Changeons notre politique, changeons NOS politiques. Et comme dirait madame Rama Yade, le recours, c est nous, c est vous! Stop à cette tradition qui n'en est même pas une. Plus ici, plus chez nous, plus en France! 
Sacha Gaillères-Doligé

mercredi 8 juin 2016

Le cumul des mandats en France : De rebondissement en rebondissement...

C’est une révolution démocratique souhaitée par 91% des Français. 

Le cumul des mandats de fonctions exécutives avait été pointé du doigt lors des dernières élections présidentielles. François Hollande en avait d’ailleurs fait une de ses propositions lors de sa campagne en 2013. Une mission de réflexion avait déjà été mise en place sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Ce comité présidé par Edouard Balladur avait pour objectif de renforcer la disponibilité des parlementaires. Cette proposition n’a toutefois pas été reprise par le projet de loi constitutionnelle de modernisation des institutions. En novembre 2012, une commission de rénovation est créée et présidée par Lionel Jospin. Elle préconise d’interdire le cumul d’un mandat parlementaire et d’une fonction exécutive locale ainsi que le cumul d’une fonction ministérielle et de l’exercice de toute fonction locale. François Hollande avait annoncé son intention de réformer cette règle électorale et de faire respecter cet engagement sans toutefois préciser la date d’application de cette nouvelle loi. 

Plusieurs limitations avaient été proposées, notamment avec la Loi Organique du 5 Avril 2000 (incompatibilité entre mandats et limitation du cumul des mandats électoraux). Cependant, ce n’est qu’en 2014, le 22 Janvier, que l’Assemblée Nationale a définitivement adopté la loi sur le cumul des mandats. Cette nouvelle procédure mettra fin à une particularité Française. Une grande majorité des parlementaires sont en situation de cumul. En 2012, 476 députés sur 577 (82%) et 267 sénateurs sur 348 (77%) exerçaient au moins un autre mandat électif. Ces parlementaires étaient le plus souvent à la tête d’un exécutif local : 45% des députés et 48% des sénateurs étaient soit maire, soit président de conseil général, soit président de conseil régional. Ces chiffres font de la France une exception en Europe ou la proportion des élus en situation de cumul ne dépasse pas généralement les 20%, exception faite pour les députés fédéraux en Belgique (16% en Italie, 10% en Allemagne, 3% en Angleterre...). 

Les dispositions de la Loi organique seront applicables à compter du premier renouvellement des assemblées concernées après le 31 mars 2017. Deux textes prévoient d’interdire aux députés et sénateurs d’exercer de fonctions exécutives locales : maire, maire d’arrondissement, maire délégué et adjoint au maire. Seront également interdites les fonctions de président et de vice-président de conseils régionaux, départementaux et des établissements de coopération intercommunale à fiscalité propre. Il est ainsi interdit d’être à la fois député et sénateur, député et député européen. En revanche, les parlementaires pourront toujours continuer à exercer leur fonction de conseillers municipaux, départementaux ou régionaux. En somme, les règles sont simples et se résument à trois grands axes. Un élu ne peut remplir qu’un seul mandat parlementaire à la fois mais un parlementaire peut exercer des mandats locaux. Deuxièmement, ce même parlementaire national peut exercer une fonction exécutive locale. Enfin, certaines fonctions sont incompatibles entre elles concernant les collectivités locales. Cependant, la loi ne tient pas compte des intercommunalités, communautés des communes ou d’agglomérations…

Cette mesure promet de restreindre les conflits d’intérêt que crée le cumul des mandats et favoriser le renouvellement du personnel politique. Elle est cependant très discutée. Certains parlementaires y sont opposés. La majorité absolue des suffrages requise a toutefois été atteinte puisque 313 députés ont voté pour. L’entrée en vigueur de cette loi obligera les parlementaires en situation d’incompatibilité à démissionner de leurs précédents mandats au bénéfice du dernier acquis. Députés et sénateurs auront trente jours pour corriger leur situation et respecter les règles. Cela mettra fin également aux indemnités cumulées… En effet, la rémunération maximale provenant de ces fonctions électives est de l’ordre de 8500€ (sans compter les avantages et privilèges dont ils bénéficient). Étonnant lorsqu’on sait que le salaire moyen net d’un Français est d’environ 1700€ et que le SMIC ne dépasse pas 1200€…

vendredi 27 mai 2016

Notre mouvement est ouvert à tous


Pour faire officiellement partie du Rassemblement éco citoyen 
Adhésion par chèque à adresser au REC - 18 rue de l'échiquier - 75010 PARIS ou par virement bancaire IBAN FR76 1660 7000 3828 1215 6893 535 
Montant minimum 10€
Merci d'indiquer coordonnées postales et contact mail 

Lettre aux français

J’ai choisi de déclarer symboliquement ma candidature à la présidence de la République française ce 21 avril 2016 pour proposer un nouveau choix aux Français. 14 ans après le « séisme » du 21 avril 2002, qui a vu l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle, rien n’a changé. Les Français ont défilé pour rien. Le Front national est passé de 18 à 30%.
La même mauvaise pièce remet en selle les mêmes mauvais acteurs. A chaque élection, nous subissons un chantage obscène au FN pour nous obliger à voter par défaut. Combien de générations va-t-on ainsi sacrifier ? C’est une prise d’otage de notre démocratie.
 J’ai la conviction que ceux qui sont à l’origine des problèmes de la France ne peuvent pas faire partie de la solution. Ils sont pour la plupart responsables de n’avoir rien fait parce qu’ils ont manqué de courage. Parce que les Français ont perdu toute confiance, l’élection française de 2017 ne ressemblera à aucune autre.
Je me présente devant eux au nom d’un mouvement nouveau, participatif et indépendant. « La France qui ose » est une coopérative politique que différents mouvements venus de la gauche comme de la droite ont décidé d’ores et déjà de rejoindre dont l’Alliance écologiste indépendante, le Parti libéral démocrate, Démocratie 21, le Rassemblement eco-citoyen, le Cercle de la Diversité. Ensemble, nous représentons 50.000 sympathisants identifiés présents dans 102 comités départementaux.
Rama Yade